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Yves Bertoncini (Institut Delors): «N’en déplaise aux europhobes, l’enjeu européen a joué contre l’extrême droite en Autriche»
Yves Bertoncini (Institut Delors): «N’en déplaise aux europhobes, l’enjeu européen a joué contre l’extrême droite en Autriche»
Le directeur de l’Institut Jacques Delors estime que le président du Conseil italien Matteo Renzi a voulu réformer son pays « à la hussarde », sans légitimité suffisante
Yves Bertoncini, qui dirige l’Institut Jacques Delors, reconnaît que l’Italie pourrait faire l’objet d’attaques sur les marchés financiers. Un risque d’autant plus grand que le système bancaire n’a pas été restructuré comme il le devait. Mais les Européens se sont dotés ces dernières années d’instruments pour y faire face, avec l’Union bancaire et le Mécanisme européen de stabilité.
Défaite du candidat d’extrême droite en Autriche, victoire du « non » en Italie : l’Europe a subi dimanche une douche écossaise. Doit-elle être soulagée ou inquiète ?
Après la polémique sur l'envoi d'armes et de munitions, Paris se défend d'amoindrir le soutien à Kiev en demandant davantage de restrictions à l'importation de certains produits agricoles ukrainiens
Armée de nouveaux textes, la Commission européenne compte réguler les grandes plateformes en temps réel, pour le bien des consommateurs et de l’innovation
Stellantis a signé un plan de départs volontaires pour près de 2 500 employés en Italie avec les syndicats, ont annoncé ces organisations mardi. Un plan qui intervient alors que le constructeur automobile tente de s’adapter aux changements nécessaires à la transition écologique de l’industrie
Début mars, l’Insee transalpin a revu à la hausse les dépenses de l’an dernier, recensant 40 milliards d'euros de dépenses supplémentaires. Rome semble avoir des difficultés à estimer précisément ses interventions dans l’économie...
L’acquisition par Lufthansa d’une participation minoritaire dans sa rivale italienne ITA Airways pourrait nuire à la concurrence et entraîner une hausse des prix, a déclaré lundi la Commission européenne. La compagnie allemande souhaite acquérir une participation de 41% dans l’ancienne Alitalia pour 325 millions d’euros dans le cadre d’une augmentation de capital. Mais Bruxelles, chargée de veiller à la bonne application de la réglementation en matière de concurrence, estime que l’opération menace la concurrence sur les liaisons court-courriers entre l’Italie et les pays d’Europe centrale, ainsi que sur les liaisons long-courriers entre l’Italie et les Etats-Unis, le Canada et le Japon. Une telle opération renforcerait également la position dominante d’ITA sur le principal aéroport de Milan. Ce n’est pas la seule tentative de consolidation dans le secteur aérien. La société International Consolidated Airlines Group SA (ICAG), propriétaire de British Airways Iberia, Vueling et Aer Lingus, cherche également à racheter la compagnie espagnole Air Europa, sur laquelle Bruxelles doit donner son avis avant le 15 juillet.