Macron peut-il vraiment sauver l’Europe ? : épisode • 21/102 du podcast Table ronde d'actualité internationale

Emmanuel Macron lors du Conseil européen à Bruxelles, Belgique, le 22 juin 2017 ©Reuters - Gonzalo Fuentes
Emmanuel Macron lors du Conseil européen à Bruxelles, Belgique, le 22 juin 2017 ©Reuters - Gonzalo Fuentes
Emmanuel Macron lors du Conseil européen à Bruxelles, Belgique, le 22 juin 2017 ©Reuters - Gonzalo Fuentes
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En première partie, Marjolaine Grappe, documentariste et ancienne correspondante en Chine, évoquera les conséquences sociale de la politique de l'enfant unique. Puis, nous interrogeront les perspectives de la politique européenne d'E. Macron, après son premier Conseil européen ce 22 juin.

Avec
  • Pauline Schnapper Professeure de civilisation britannique à l’université Sorbonne Nouvelle
  • Marjolaine Grappe Ancienne correspondante en Chine et documentariste.
  • Marc Semo Correspondant diplomatique du Monde
  • Yves Bertoncini Président du Mouvement Européen – France.

Hier s’est ouvert à Bruxelles un Conseil européen, le premier sommet européen pour le nouveau président français. Très attendu par l’ensemble de ses partenaires, après s’être montré, durant la campagne – mais aussi depuis son investiture – un responsable politique particulièrement europhile. Il a d’ailleurs donné son premier grand entretien à plusieurs journaux européens disant espérer voir son élection marquer "le début d'une renaissance française et européenne".

Mais que peut vraiment Emmanuel Macron ? Cette semaine, le magazine britannique The Economist faisait sa Une sur le président français, le présentant marchant sur l’eau, fier et souriant avec cette question « Europe’s Savior ? ».

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Pour y parvenir, il faudra surmonter nombre de défis : défi sécuritaire, économique, social, avec des dossiers extrêmement complexes et urgents, au premier rang duquel, le Brexit bien sûr.

Les négociations ont désormais officiellement commencées, quelle sera la posture du nouveau « New boy » de l’Europe?

« New Boy », c’est ainsi qu’il a été appelé par le premier ministre hongrois, Viktor Orban, qui fut l’un des seuls à s’être montré assez mesuré – voire circonspect – sur les effets de l’arrivée du « petit nouveau » sur la scène européenne.

Une émission préparée par Tiphaine de Rocquigny et Samuel Bernard.

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