Décryptage

Eviter deux écueils : l’illusion et l’inertie

António Vitorino prend position sur les enjeux du Conseil européen des 27-28 juin 2013 en évaluant notamment la gouvernance de l’UEM, y compris sa dimension sociale, l’union bancaire, le pacte pour la croissance et l’élargissement.

À l’occasion du Conseil européen des 27-28 juin, António Vitorino, président de Notre Europe – Institut Jacques Delors, répond aux questions suivantes :

1. Le Conseil européen devrait aborder l’enjeu des réformes structurelles, en clôture du troisième « semestre européen » : que peut-il faire pour obtenir des progrès substantiels sur ce point ?

2. Que pensez-vous de la contribution franco-allemande formulée en amont de ce Conseil européen, et notamment de la proposition d’un président permanent de l’Eurogroupe ?

3. La situation des banques européennes semble toujours problématique, alors que le Conseil européen va à nouveau évoquer le projet d’union bancaire : quelles sont vos attentes à cet égard ?

4. Le Conseil européen va évoquer l’application du Pacte pour la croissance adopté il y a un an : que faire sur ce registre ?

5. La « dimension sociale de l’UEM » est également à l’ordre du jour de ce Conseil européen : que recouvre selon vous une telle dimension sociale ?

6. Le Conseil européen pourrait aussi se prononcer sur l’ouverture des négociations d’adhésion avec la Serbie et la Macédoine : quelle est votre position sur le sujet ?

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