Accords de libre-échange : commerce ou géopolitique ?

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Laetitia Lallement

Par Laetitia Lallement

Les accords de libre-échange sont, à l’origine, passés pour limiter les droits de douane entre deux pays. Mais les changements économiques, géostratégiques et environnementaux des dernières années en font de nouveaux accords géopolitiques.

Emmanuel Macron a reçu le président chinois Xi Jinping, le 6 mai à Paris. Les relations économiques entre les deux pays ont été au cœur des discussions.
Emmanuel Macron a reçu le président chinois Xi Jinping, le 6 mai à Paris. Les relations économiques entre les deux pays ont été au cœur des discussions. (Photo Ludovic Marin/EPA)

« Je ne comprends pas pourquoi le Sénat a refusé l’accord avec le Canada [le 21 mars, NDLR]. C’est un pays partenaire ! », s’interrogeait, stupéfaite, Lysiane Métayer, en avril. Interrogée en tant que rapporteur sur le bilan des accords de libre-échange, la députée Renaissance du Morbihan vante les mérites du Ceta, l’accord commercial entre l’UE et le Canada en vigueur depuis 2017, dit de nouvelle génération. Ces nouveaux accords, en plus de favoriser les échanges commerciaux, tentent de diminuer les obstacles non tarifaires, comme les normes sanitaires, sociales ou encore environnementales. Le premier accord de ce type est celui passé avec la Corée du Sud, en 2011, entré en vigueur en 2015.

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