Brexit: face à Londres, l’infinie patience des Européens
DÉCRYPTAGE - Les États membres de l’Union européenne font preuve d’une patience sans fin alors que la ministre britannique des Affaires étrangères, Liz Truss, vient de remplacer David Frost à la tête des négociations.
Correspondante à Bruxelles
Voilà donc Bruxelles face à un nouvel interlocuteur britannique sur le Brexit. Le septième depuis 2016. Après la démission surprise de l’intransigeant David Frost, la Commission doit désormais négocier avec une ancienne «remainer» devenue pro-Brexit, la ministre des Affaires étrangères, Liz Truss.
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Un premier échange a eu lieu la semaine dernière entre cette femme aux ambitions assumées - elle convoite le poste du premier ministre Boris Johnson - et le commissaire en charge de ce dossier, Maros Sefcovic. «Je ne fais pas partie de ceux qui pensent que tout va changer parce que Frost est parti. Truss va être mobilisée pour plaire aux brexiters les plus durs», analyse l’eurodéputée Nathalie Loiseau, coprésidente du groupe chargée de suivre les relations entre l’UE et le Royaume-Uni au Parlement européen.
Le protocole nord-irlandais remis en cause
De fait, les très maigres espoirs que Bruxelles plaçait en Liz Truss ont rapidement été douchés. «La position britannique n’a pas changé. Nous avons besoin que les marchandises…
Politicus
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Bono est un clown ! Prendre une ancienne remanier pour finir de casser les conditions honorable d’un Brexit ?
Politicus
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Comment les anglais, peuple réfléchi, ont ils pu prendre comm
Anonyme
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On met une frontiere entre l’irlande et la province britannique dites irlande du nord et basta le UK gerera la suite cela ne regarde plus l’UE