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La décennie dans laquelle va s’inscrire leur quinquennat étant décisive, les candidates et candidats à l’élection présidentielle n’ont d’autre choix que d’anticiper la trajectoire budgétaire qui sera la leur en matière de climat. C’est ce que décrivent quatre think tanks (Iddri, I4CE, OFCE et Institut Jacques Delors) ce 14 décembre. Ils recommandent de programmer les investissements dans la durée, jusqu’en 2030, et détaillent les conditions pour que cette programmation soit réussie, dont l’impératif de la concevoir en lien avec le projet européen et la réforme des règles budgétaires existantes.
Au 31 décembre 2023, sur la base des données mises à disposition par l’ensemble des fédérations professionnelles commercialisant des plans d’épargne retraite (PER), plus de 10 millions de personnes bénéficient de ces nouveaux supports lancés par la loi Pacte en 2019, a annoncé Bercy le 28 avril 2024. Les encours constitués sur les PER atteignent ainsi 102,8 milliards d’euros. Cette dynamique concerne tant les PER d’entreprise, collectifs (23,4 milliards d’euros d’encours) et obligatoires (19,5 milliards d’euros d’encours), que les PER individuels (59,9 milliards d’euros d’encours et plus de 3,69 millions de titulaires). Rappelons que la loi Pacte a substitué le PER aux nombreux produits d’épargne retraite existants (Perp, Madelin, article 83, Perco), dont les règles de fonctionnement étaient jugées hétérogènes et complexes.
L’AFB et trois organisations syndicales du secteur des banques commerciales (CFDT, CGT et SNB/CFE-CGC) représentant 79,1 % des suffrages lors du dernier cycle de représentativité ont signé le 25 avril 2024 un accord de branche qui revalorise, à compter du 1er mai 2024, les 55 salaires minima de 1,9 %, avec un plancher à 600 euros. Soit une enveloppe inférieure à celle de l’accord unanime de 2023, fixée à 3 % (lire sur AEF info). Les 30 premiers salaires minima bénéficieront en 2024 d’une augmentation équivalente à 2,7 et 2,3 %. Dans un communiqué du 30 avril, l’AFB souligne que cet accord "a pour effet de porter les premiers minima de la grille à 8,17 % au-dessus du Smic". Il fixe également le salaire minimal des cadres de plus de 50 ans à 36 000 euros, contre 35 500 euros jusqu’au 1er mai 2024. Pas suffisant pour Force ouvrière et la CFTC qui n'ont pas paraphé ce texte.