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Allons-nous tous « périr » ? Voilà en tout cas un terme de plus en plus fréquemment utilisé pour nous présenter l'une des branches de l'alternative qui s'offre à nous. Ralentir ou périr : titre de l'ouvrage récent de l'économiste de la décroissance Timothée Parrique. « Coopérer ou périr » : formule prononcée ce 7 novembre à l'occasion de la COP27 par le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres. « Changer ou périr » : regard sur l'avenir européen de Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques-Delors…
L'inflation sémantique du vocable dans le cadre d'alternatives comminatoires interpelle à plusieurs niveaux. Tout d'abord, « périr » vient signaler une mort violente, malheureuse ou prématurée. Ce verbe entraîne avec lui tout un halo d'évocations tragiques : périr dan...
L'internaute "Sanqu" (14/11 à 14h45) nous recommande de lire le livre, récemment paru, "l'obscurantisme vert".
Il aurait pu nous préciser le nom de l'auteur :
Yves Roucaute
Et puis, de toute façon nous allons mourir. Et ce ne sera pas le réchauffement climatique la cause.
Je peux vous dire qu'en centre France la page de rubriques nécrologiques égalait les autres, quant à l'individualisme, avant il tuait beaucoup moins, vous verrez qu'en dehors de cet aspect de résistance aux vagues de chaleur cela ne sera pas le seul facteur qui remettra en cause notre petite capacité à s'adapter.