Dans un entretien accordé à la presse régionale, le chef de l’État affirme que Moscou n’a pas son mot à dire sur la présence de forces européennes sur le sol ukrainien. Il évoque également un possible déploiement de troupes à des fins d’entraînement.
PRO-PAIX. Slawomir Mentzen, candidat populiste à l’élection du 18 mai, surfe sur la lassitude des jeunes vis-à-vis de la guerre en Ukraine. Le businessman de 39 ans, qui grimpe dans les sondages, est accusé par l’opposition d’être pro-Poutine.
PERSÉCUTIONS. Le massacre de 1 400 civils ravive la crainte d’un retour d’une guerre confessionnelle. D’autant que les nouveaux maîtres de Damas peinent à imposer l’ordre auprès des milices djihadistes étrangères.