Accéder au contenu principal
Décryptage

Comment la Russie enrôle de gré, mais également de force des Africains pour combattre en Ukraine

Publié le :

Ce sont les « malgré nous » de Poutine, ces combattants étrangers intégrés, par la ruse, à l’armée russe, aux côtés de leurs compatriotes volontaires pour aller combattre sur le front ukrainien. Des milliers de Sri-lankais, d’Indiens, de Népalais et beaucoup d’Africains venus du Bénin du Cameroun ou bien encore de Centrafrique, tous attirés en Russie par des offres d’emplois trompeuses, assorties de salaires mirobolants.

Des soldats sont envoyés au front dans la guerre entre la Russie et l'Ukraine, souvent sans aucune expérience de la confrontation armée (image d'illustration).
Des soldats sont envoyés au front dans la guerre entre la Russie et l'Ukraine, souvent sans aucune expérience de la confrontation armée (image d'illustration). AP
Publicité

Ils pensaient être chauffeur ou mécanicien, les voilà désormais en première ligne perdus dans le Donbass. Véritable « chair à canon » étrangère pour l’armée russe. Comment les recruteurs de Moscou usent-ils de tous leurs leviers pour enrôler ces hommes ? La stratégie du Kremlin pour renouveler ses troupes passe-t-elle par un véritable « trafic d’êtres humains » ?

Avec

- Florent Parmentier, secrétaire général du CEVIPOF à Sciences Po, chercheur associé à l’Institut Jacques Delors 

- François Mazet, journaliste au service Afrique de RFI.  

 

À lire aussiUkraine: «Les Africains en première ligne, les Russes restent au camp», confie un Camerounais envoyé au front

NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail

Suivez toute l'actualité internationale en téléchargeant l'application RFI

Voir les autres épisodes
Page non trouvée

Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.