Qatargate, Marocgate… Comment les affaires de corruption nuisent au Parlement Européen

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Par De notre correspondante à Bruxelles, Solenn Paulic

Qatargate, Marocgate… Deux mois après le déclenchement de l’affaire de corruption présumée, les couloirs du Parlement européen gardent les stigmates du scandale. Un an avant les européennes, les eurodéputés ne semblent pas prêts à tout révolutionner. Immersion dans une institution à l’image dégradée.

Au Parlement européen, l’affaire du Qatargate pose un certain nombre de questions, notamment celle du lobbying.
Au Parlement européen, l’affaire du Qatargate pose un certain nombre de questions, notamment celle du lobbying. (Photo Stéphanie Lecocq/EPA)

« Bureau scellé, accès interdit. » C’est devant ce message accompagné d’autocollants « Police » que passent, chaque jour, depuis deux mois, les eurodéputés et collaborateurs du groupe socialiste du Parlement européen à Bruxelles. Aux 15e et 10e étage, précisément, où se trouvent les bureaux de la Grecque Eva Kaili, du Belge Marc Tarabella et de l’Italien Andrea Cozzolino, tous mis en cause dans le Qatargate.

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