Pour la toute première édition d’ « Euroquestions », nouvelle série de courts webinaires lancée par l'Institut Jacques Delors, notre Directeur Sébastien Maillard présentera les grands défis de cette rentrée européenne.
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La relance est à l’évidence le premier mot d’ordre de cette rentrée. La France présente son plan ce 3 septembre en réaction aux effets économiques de la pandémie. Son financement s’appuie notamment sur l’accord des Vingt-Sept en juillet dernier de lancer un grand emprunt de 750 milliards d’euros. La conjugaison des efforts doit permettre d’accélérer et d’accompagner socialement la transition écologique, orchestrée par le Pacte vert européen.
L’autre mot d’ordre pour l’Europe, moins mis en relief, moins consensuel mais qui s’impose aussi en cette rentrée, est celui de la puissance. La présidentielle américaine du 3 novembre se joue sur fond de rivalité accrue avec la Chine, dont l’UE doit se démarquer. Au-delà, c’est à de fortes tensions d’abord dans son voisinage immédiat (Biélorussie, Méditerranée orientale, Libye, Liban, Ukraine, Sahel, ..), que les Européens doivent apprendre à réagir de concert. Sans oublier l’épineux dossier du Brexit.
Derrière les défis de la relance et de la puissance, c’est finalement aussi celui de l’appartenance à un projet ambitieux commun qui est reposé. La Conférence sur le futur de l’Europe, dont le lancement est attendu avant la fin de l’année, offre l’occasion de la renouveler.
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La relance est à l’évidence le premier mot d’ordre de cette rentrée. La France présente son plan ce 3 septembre en réaction aux effets économiques de la pandémie. Son financement s’appuie notamment sur l’accord des Vingt-Sept en juillet dernier de lancer un grand emprunt de 750 milliards d’euros. La conjugaison des efforts doit permettre d’accélérer et d’accompagner socialement la transition écologique, orchestrée par le Pacte vert européen.
L’autre mot d’ordre pour l’Europe, moins mis en relief, moins consensuel mais qui s’impose aussi en cette rentrée, est celui de la puissance. La présidentielle américaine du 3 novembre se joue sur fond de rivalité accrue avec la Chine, dont l’UE doit se démarquer. Au-delà, c’est à de fortes tensions d’abord dans son voisinage immédiat (Biélorussie, Méditerranée orientale, Libye, Liban, Ukraine, Sahel, ..), que les Européens doivent apprendre à réagir de concert. Sans oublier l’épineux dossier du Brexit.
Derrière les défis de la relance et de la puissance, c’est finalement aussi celui de l’appartenance à un projet ambitieux commun qui est reposé. La Conférence sur le futur de l’Europe, dont le lancement est attendu avant la fin de l’année, offre l’occasion de la renouveler.
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