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13 juin 2006 – Conférence de l’Institut Finlandais de Relations internationales

| 14/06/2006 | |

Discours de Jacques Delors et commentaires de Gaëtane Ricard-Nihoul lors de la conférence IFRI-TEPSA organisée à Helsinki le 13 juin 2006

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Discours de Jacques Delors et commentaires de Gaëtane Ricard-Nihoul lors de la conférence IFRI-TEPSA organisée à Helsinki le 13 juin 2006


Extraits :

Au début, fort en optimisme, je m’étais dit qu’après tout, la crise de la chaise vide provoquée par le Général de Gaulle dans les années 1960 et l’autre produite par Madame Thatcher avec « I want my money back » étaient aussi sérieuses. Mais quand je vois maintenant les réactions des gouvernements, les réactions des opinions publiques, le scepticisme qui grandit, un certain immobilisme des institutions -si J’excepte le dynamisme du Parlement européen-, J’en viens à considérer, comme les gens que vous avez cités, que cette crise est vraiment la plus grave.

Discours de Jacques Delors et commentaires de Gaëtane Ricard-Nihoul lors de la conférence IFRI-TEPSA organisée à Helsinki le 13 juin 2006


Extraits :

Au début, fort en optimisme, je m’étais dit qu’après tout, la crise de la chaise vide provoquée par le Général de Gaulle dans les années 1960 et l’autre produite par Madame Thatcher avec « I want my money back » étaient aussi sérieuses. Mais quand je vois maintenant les réactions des gouvernements, les réactions des opinions publiques, le scepticisme qui grandit, un certain immobilisme des institutions -si J’excepte le dynamisme du Parlement européen-, J’en viens à considérer, comme les gens que vous avez cités, que cette crise est vraiment la plus grave.

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