Paris, 25 juillet 2018 – Les grands enjeux européens de 2019-2024
Sébastien Maillard, directeur de l'Institut Jacques Delors, intervient lors d'un séminaire organisé par le groupe "La République en Marche" de l'Assemblée Nationale, séminaire visant à éclairer les grands enjeux auxquels la prochaine législature du Parlement européen sera confrontée.
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Le 26 mai 2019 se tiendront les prochaines élections européennes, au cours desquelles les citoyens européens désigneront les députés qui les représenteront entre 2019 et 2024. À l’aune de cette échéance électorale – cruciale, au vue des défis internes (remise en question de l’État de droit dans certains États membres, négociations du Brexit, etc.) et externes (tensions commerciales avec les États-Unis) – le groupe LaREM organise un séminaire dont l’objectif est d’apporter un éclairage sur les grands enjeux européens actuels, qu’il s’agisse des relations entres les parlements nationaux et le Parlement européen et, plus globalement, le processus décisionnel européen, les déséquilibres liés à la gouvernance économique, les négociations budgétaires pour le prochain Cadre Financier Pluriannuel et les tensions commerciales et diplomatiques entre l’Union européenne et les États-Unis.
C’est notamment sur ce dernier point qu’interviend Sébastien Maillard : l’UE se veut gardienne de certaines valeurs de paix, de libéralisation du commerce mondiale et souhaite être un acteur diplomatique fort. Aujourd’hui, les États-Unis se sont retirés de l’accord sur le nucléaire iranien et appliquent des sanctions commerciales à plusieurs pays. Comment l’UE peut-elle trouver sa place dans le nouvel ordre mondial ? Comment s’affirme-t-elle en tant que puissance diplomatique et commerciale ? Il interviendra aux côtés de Coralie Dubost, vice-présidente du groupe LaREM en charge des relations avec le gouvernement, membre de la commission des lois et des affaires européennes, Sabine Thillaye, présidente de la commission des affaires européennes, Pieyre-Alexandre Anglade, vice-président de la commission des affaires européennes et Valère Moutarlier, directeur en charge de la fiscalité directe et de l’analyse économique et de l’évaluation au sein de la Direction générale « fiscalité et union douanière » à la Commission européenne.
Le 26 mai 2019 se tiendront les prochaines élections européennes, au cours desquelles les citoyens européens désigneront les députés qui les représenteront entre 2019 et 2024. À l’aune de cette échéance électorale – cruciale, au vue des défis internes (remise en question de l’État de droit dans certains États membres, négociations du Brexit, etc.) et externes (tensions commerciales avec les États-Unis) – le groupe LaREM organise un séminaire dont l’objectif est d’apporter un éclairage sur les grands enjeux européens actuels, qu’il s’agisse des relations entres les parlements nationaux et le Parlement européen et, plus globalement, le processus décisionnel européen, les déséquilibres liés à la gouvernance économique, les négociations budgétaires pour le prochain Cadre Financier Pluriannuel et les tensions commerciales et diplomatiques entre l’Union européenne et les États-Unis.
C’est notamment sur ce dernier point qu’interviend Sébastien Maillard : l’UE se veut gardienne de certaines valeurs de paix, de libéralisation du commerce mondiale et souhaite être un acteur diplomatique fort. Aujourd’hui, les États-Unis se sont retirés de l’accord sur le nucléaire iranien et appliquent des sanctions commerciales à plusieurs pays. Comment l’UE peut-elle trouver sa place dans le nouvel ordre mondial ? Comment s’affirme-t-elle en tant que puissance diplomatique et commerciale ? Il interviendra aux côtés de Coralie Dubost, vice-présidente du groupe LaREM en charge des relations avec le gouvernement, membre de la commission des lois et des affaires européennes, Sabine Thillaye, présidente de la commission des affaires européennes, Pieyre-Alexandre Anglade, vice-président de la commission des affaires européennes et Valère Moutarlier, directeur en charge de la fiscalité directe et de l’analyse économique et de l’évaluation au sein de la Direction générale « fiscalité et union douanière » à la Commission européenne.
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