Décryptage
Tsipras n’est pas Midas : une rupture dans la continuité?
Yves Bertoncini analyse la victoire de Syriza lors des élections législatives, qui marque un clair rejet des politiques conduites à Athènes ces 5 dernières années et ouvre une nouvelle étape dans les relations entre la Grèce et “Bruxelles”.
La nette victoire de Syriza lors des élections législatives de ce dimanche 25 janvier marque un clair rejet des politiques conduites à Athènes au cours des 5 dernières années sous l’égide de l’UE et du FMI. Cet événement démocratique ouvre une nouvelle étape dans les relations entre la Grèce et “Bruxelles”, qui ne devrait pas marquer une rupture, mais une inflexion dont l’ampleur dépendra largement de l’évolution des relations entre Athènes et ses créanciers.
Tel est l’objet de cette Tribune d’Yves Bertoncini, articulée autour de trois éléments :
1. Se passer de la Troïka, c’est aussi revenir sur les marchés financiers
2. La nécessité d’un dialogue constructif entre Athènes et l’UE
3. La victoire de Siriza n’annonce pas de “grand soir” européen
Cette Tribune a été publiée par la version française du Huffington Post et une version anglaise plus courte sur EurActiv.com.
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