« Les Alliés membres de l'Otan ne fournissent pas assez de munitions à l'Ukraine et cela a des conséquences sur le champ de bataille tous les jours », a déclaré ce jeudi (14 mars 2024) le secrétaire général de l’Alliance atlantique Jens Stoltenberg. Mais face au risque d’escalade, l’OTAN peut-elle en faire plus ? Alors que le 75è anniversaire de l’Alliance approche, quelle doit être l’action de l’organisation ? La Russie craint-elle l’OTAN ? Quid de l’avenir de l’Alliance confrontée au risque d’affaiblissement des États-Unis ?
Pour en débattre :
- Samantha de Bendern, chercheuse au Département Russie-Eurasie à la Royal Institute of International Affairs (Chatham House)
- Jean-Paul Paloméros, ancien chef d'État major de l'Armée de l'air française et ancien commandant suprême de l'Otan.
- Cyrille Bret, chercheur associé à l’Institut Jacques Delors et fellow de l’Institut Montaigne, co-auteur du site Eurasiaprospective.net.
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