Benjamin Couteau

Benjamin Couteau est chercheur à l’Institut Jacques Delors sur les thématiques liées à la politique d’élargissement de l’Union européenne, ainsi qu’aux Balkans occidentaux et à la Turquie au sein du Centre Grande Europe depuis novembre 2022.

Benjamin Couteau est chercheur à l’Institut Jacques Delors sur les thématiques liées à la politique d’élargissement de l’Union européenne, ainsi qu’aux Balkans occidentaux et à la Turquie, au sein du Centre Grande Europe depuis novembre 2022. Ses travaux portent principalement sur les relations qu’entretiennent les pays de la région des Balkans occidentaux et la Turquie avec l’Union européenne, en particulier dans le cadre de la politique d’élargissement, ainsi que sur les influences concurrentes à l’œuvre dans la région. Benjamin Couteau a occupé différents postes au sein de l’Institut Jacques Delors. Il a précédemment exercé la fonction de responsable des groupes de travail de l’Institut, où il a coordonné les activités des groupes de travail « Géopolitique », « Migration & asile politique », « Observatoire du Parlement européen » et « Relations UE–Chine », en apportant un soutien à la recherche et à l’organisation des réunions. Il a également été responsable pédagogique de l’Académie Notre Europe (de l’année académique 2021–2022 à 2023–2024), un programme destiné à former à la citoyenneté et aux enjeux européens une centaine d’étudiants et de jeunes professionnels âgés de 18 à 30 ans.

Benjamin Couteau est titulaire d’une licence en droit de l’Union européenne et international, ainsi que d’un master 1 en droit de l’Union européenne de l’Université de Bordeaux. Il est également titulaire d’un master 2 en droits de l’Homme et droit de l’Union européenne de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Son mémoire de master portait sur le respect des critères de Copenhague par la Turquie dans le cadre de son processus d’adhésion à l’Union européenne. Au cours de son parcours académique, il a également effectué un séjour à l’Université Paris 2 Panthéon-Assas et à l’Université Mykolas Romeris, en Lituanie. Il maîtrise le français, l’anglais et l’espagnol dans un cadre professionnel, et possède des notions d’italien et de turc.