Benjamin Couteau est chercheur au sein du Centre Grande Europe de l’Institut Jacques Delors, après avoir occupé les fonctions de responsable des groupes de travail de l’Institut. Ses travaux portent sur les relations qu’entretiennent les pays de la région des Balkans occidentaux et la Turquie avec l’Union européenne, en particulier dans le cadre de leur processus adhésion.
Depuis l’année académique 2021-2022, il exerce également les fonctions de responsable pédagogique de l’Académie Notre Europe, organisme de formation de l’Institut Jacques Delors destiné à former à la citoyenneté et aux enjeux européens une centaine d’étudiants et de jeunes professionnels de 18 à 30 ans provenant de plus de 20 pays à travers le monde.
Diplômé de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (Droits de l’Homme et droit de l’Union européenne) et ancien étudiant de l’Université Paris 2 Panthéon-Assas et de l’Université Mykolas Romeris (Vilnius, Lituanie), il a rédigé son mémoire de master sur le respect des critères de Copenhague par la Turquie dans le cadre de son processus d’adhésion à l’Union européenne.
Il a également mené des recherches sur la protection des droits fondamentaux dans les systèmes européen et interaméricain. Ses langues de travail sont le français, l’anglais et l’espagnol.
PUBLICATIONS
PUBLICATIONS
Tensions Kosovo/Serbie

Élargissement de l’Union européenne : une relance inattendue

Quelle politique européenne de défense?

Guerre en Ukraine :
quelles conséquences sur les organisations européennes ?

L’héritage de Robert Schuman dans la vision et dans l’action de Jacques Delors

La Bosnie-Herzégovine sous tension

MÉDIAS
MEDIAS
Elections en Turquie : ce que changerait une défaite d’Erdogan pour les Européens

Францускиот предлог за македонска евроинтеграција

« Ucrânia fez progressos que ninguém esperava »

Adhésion à l’UE : « l’Ukraine a fait des progrès auxquels personne ne s’attendait »

Présidence du Conseil de l’Union européenne : quel véritable pouvoir pour la France ?

Présidence du conseil de l’Union européenne, un exercice très contraint pour Emmanuel Macron
