Brussels, 17 mai 2018 – Vers où se dirige la gestion du spectre pour 2025-2030 ?
Pascal Lamy, président emeritus de l'Institut Jacques Delors, participe à un débat sur la politique européenne en matière de spectre. Ce séminaire du comité exécutif du CERRE a pour objectif de débattre des perspectives de cette politique à moyen-terme et d'échanger sur la manière dont le spectre radioélectrique devrait être réglementé d'ici 2035.
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Les développements technologiques et les évolutions des structures de marché ont amené à de profonds changements quant aux besoins de l’Europe en termes de connectivité. La dématérialisation croissante des réseaux de consommation et de production, la convergence des réseaux de communication téléphoniques, les attentes des consommateurs quant à une connectivité sans faille, l’émergence de « l’Internet des objets » et de la communication « Machine-to-Machine » (M2M) et la complexité croissante des demandes de secteurs économiques comme les transports ou l’énergie ont nécessité une révision de la politique européenne en matière de spectre radioélectriques.
En septembre 2016, dans le cadre du Code des communications électroniques européen, la Commission a révisé les règles concernant la gestion des spectres radioélectriques, dans l’esprit de créer un environnement réglementaire stable et réduisant les divergences de pratiques au sein du Marché unique.
Bien qu’il n’y ait aucun doute sur cette politique européenne sur le spectre radioélectrique est avant-gardiste et vise plutôt une meilleure gestion de ces flux à l’avenir, la question reste de savoir si ces dispositions vont suffisamment loin. L’Europe a t-elle investi suffisamment de temps afin de résoudre les dysfonctionnements passés ? Est-il temps pour l’Europe d’adopter une politique visionnaire, en cherchant des idées innovantes ou en adoptant de nouveaux modèles ? Le modèle étasunien est-il à suivre ?
Dans ce contexte, Pascal Lamy présente la perspective politique et tente, par ce prisme, de répondre aux questions posées ci-dessus. Si vous souhaitez plus d’informations sur cet événement, vous pouvez consulter le programme, disponible sur le site du CERRE.
Les développements technologiques et les évolutions des structures de marché ont amené à de profonds changements quant aux besoins de l’Europe en termes de connectivité. La dématérialisation croissante des réseaux de consommation et de production, la convergence des réseaux de communication téléphoniques, les attentes des consommateurs quant à une connectivité sans faille, l’émergence de « l’Internet des objets » et de la communication « Machine-to-Machine » (M2M) et la complexité croissante des demandes de secteurs économiques comme les transports ou l’énergie ont nécessité une révision de la politique européenne en matière de spectre radioélectriques.
En septembre 2016, dans le cadre du Code des communications électroniques européen, la Commission a révisé les règles concernant la gestion des spectres radioélectriques, dans l’esprit de créer un environnement réglementaire stable et réduisant les divergences de pratiques au sein du Marché unique.
Bien qu’il n’y ait aucun doute sur cette politique européenne sur le spectre radioélectrique est avant-gardiste et vise plutôt une meilleure gestion de ces flux à l’avenir, la question reste de savoir si ces dispositions vont suffisamment loin. L’Europe a t-elle investi suffisamment de temps afin de résoudre les dysfonctionnements passés ? Est-il temps pour l’Europe d’adopter une politique visionnaire, en cherchant des idées innovantes ou en adoptant de nouveaux modèles ? Le modèle étasunien est-il à suivre ?
Dans ce contexte, Pascal Lamy présente la perspective politique et tente, par ce prisme, de répondre aux questions posées ci-dessus. Si vous souhaitez plus d’informations sur cet événement, vous pouvez consulter le programme, disponible sur le site du CERRE.
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