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Dans un contexte de transformation de notre système énergétique, qui passe d’un approvisionnement dominé par les combustibles fossiles à des énergies renouvelables, et de préoccupations croissantes quant à l’acceptabilité sociale de la transition, les communautés énergétiques apparaissent comme une opportunité de s’orienter vers un système de production d’énergie plus décentralisé et inclusif, basé sur les énergies renouvelables. Depuis 2018, l’UE a été le moteur du mouvement des communautés énergétiques sur le continent, en introduisant les concepts de communautés d’énergie renouvelable et de communautés d’énergie citoyenne dans sa législation. La législation de l’UE reconnaît explicitement ces communautés comme des acteurs motivés par un objectif, assumant des responsabilités environnementales et sociales supplémentaires. Toutefois, en l’absence d’un soutien public suffisant et d’un environnement favorable approprié, les communautés énergétiques pourraient ne pas être en mesure de réaliser pleinement leur potentiel d’amélioration de la cohésion sociale au niveau local, de promotion de l’inclusion et de réduction de la pauvreté énergétique.
Dans quelle mesure l’Union européenne aide-t-elle le mouvement des communautés énergétiques et que peut-on améliorer ? Les communautés de l’énergie peuvent-elles réellement contribuer à réduire la pauvreté énergétique et à atteindre les ménages vulnérables ? Comment l’UE peut-elle les soutenir à cet égard ?
Nous sommes ravis d’accueillir Klervi Kerneïs, chercheur en politique énergétique européenne à l’Institut Jacques Delors, qui a publié avec Camille Defard le rapport » Analyse du contexte politique et réglementaire du développement des communautés énergétiques aux niveaux européen, national et local. » dans le cadre du projet Sun4All financé par l’UE.
Dans un contexte de transformation de notre système énergétique, qui passe d’un approvisionnement dominé par les combustibles fossiles à des énergies renouvelables, et de préoccupations croissantes quant à l’acceptabilité sociale de la transition, les communautés énergétiques apparaissent comme une opportunité de s’orienter vers un système de production d’énergie plus décentralisé et inclusif, basé sur les énergies renouvelables. Depuis 2018, l’UE a été le moteur du mouvement des communautés énergétiques sur le continent, en introduisant les concepts de communautés d’énergie renouvelable et de communautés d’énergie citoyenne dans sa législation. La législation de l’UE reconnaît explicitement ces communautés comme des acteurs motivés par un objectif, assumant des responsabilités environnementales et sociales supplémentaires. Toutefois, en l’absence d’un soutien public suffisant et d’un environnement favorable approprié, les communautés énergétiques pourraient ne pas être en mesure de réaliser pleinement leur potentiel d’amélioration de la cohésion sociale au niveau local, de promotion de l’inclusion et de réduction de la pauvreté énergétique.
Dans quelle mesure l’Union européenne aide-t-elle le mouvement des communautés énergétiques et que peut-on améliorer ? Les communautés de l’énergie peuvent-elles réellement contribuer à réduire la pauvreté énergétique et à atteindre les ménages vulnérables ? Comment l’UE peut-elle les soutenir à cet égard ?
Nous sommes ravis d’accueillir Klervi Kerneïs, chercheur en politique énergétique européenne à l’Institut Jacques Delors, qui a publié avec Camille Defard le rapport » Analyse du contexte politique et réglementaire du développement des communautés énergétiques aux niveaux européen, national et local. » dans le cadre du projet Sun4All financé par l’UE.