Euroquestions #61 | Accès de la Hongrie et de la Pologne aux fonds de l’UE et État de droit [EN]
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En décembre 2022, les États membres ont adopté le plan de relance hongrois mais ont conditionné le versement des fonds à une série de réformes de l’État de droit. De même, le gouvernement polonais a porté atteinte à l’indépendance de la justice depuis son arrivée au pouvoir en 2015, et tente de revenir sur certaines mesures depuis le début de l’année 2023 dans l’espoir de débloquer des fonds du plan de relance européen. La Hongrie a également 6,4 milliards de fonds européens gelés pour non-respect des principes de l’État de droit et les deux pays voient leurs fonds de cohésion suspendus pour non-respect de la Charte des droits fondamentaux. Quelle est la situation actuelle en ce qui concerne l’accès de la Hongrie et de la Pologne à ces différents fonds européens ? Quels sont les montants actuellement suspendus par chaque mécanisme et quelles sont les conditions imposées à chaque pays pour lever ces suspensions ?
Eulalia Rubio, chercheuse senior à l’Institut Jacques Delors, nous aidera à y voir plus clair.
En décembre 2022, les États membres ont adopté le plan de relance hongrois mais ont conditionné le versement des fonds à une série de réformes de l’État de droit. De même, le gouvernement polonais a porté atteinte à l’indépendance de la justice depuis son arrivée au pouvoir en 2015, et tente de revenir sur certaines mesures depuis le début de l’année 2023 dans l’espoir de débloquer des fonds du plan de relance européen. La Hongrie a également 6,4 milliards de fonds européens gelés pour non-respect des principes de l’État de droit et les deux pays voient leurs fonds de cohésion suspendus pour non-respect de la Charte des droits fondamentaux. Quelle est la situation actuelle en ce qui concerne l’accès de la Hongrie et de la Pologne à ces différents fonds européens ? Quels sont les montants actuellement suspendus par chaque mécanisme et quelles sont les conditions imposées à chaque pays pour lever ces suspensions ?
Eulalia Rubio, chercheuse senior à l’Institut Jacques Delors, nous aidera à y voir plus clair.