Décryptage

Le pacte de stupidité est-il toujours stable?

António Vitorino prend position sur les enjeux du Conseil européen des 14 et 15 mars 2013 en évaluant la mise en oeuvre du « semestre européen », le calendrier de réduction des déficits, la stratégie à l’égard des pays en difficulté ainsi que les priorités du « pacte pour la croissance et l’emploi ».

À l’occasion du Conseil européen des 14 et 15 mars 2013, António Vitorino, président de Notre Europe –Institut Jacques Delors, répond aux questions suivantes :

1 – Ce Conseil européen de printemps constitue une étape importante du nouveau « semestre européen » : qu’attendez-vous de ses discussions ?

2 – Le Conseil européen doit-il revoir sa stratégie ou son calendrier s’agissant de la réduction des déficits ?

3 – Pensez-vous que le Conseil européen doit donner un signal spécifique en direction de pays en difficulté, comme Chypre ou l’Italie ?

4 – Le Conseil européen doit évoquer l’état d’avancement du « pacte pour la croissance et l’emploi », notamment en ce qui concerne le marché unique: quelles sont les principales priorités ?

5 – Le Conseil européen devrait faire le point sur le nouveau cadre financier pluriannuel et les propositions législatives en découlant:quels messages doit-il délivrer ?

6 – Le Conseil européen est appelé à évoquer la politique étrangère de l’UE: peut-on en attendre quelque chose de concret ?

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